Réconciliation et Cohésion sociale : La Force 2015 rencontre Karamoko Yayoro

L’honorable Karamoko Yayoro, par ailleurs, président de la Jeunesse du Rassemblement des républicains (RJR), a reçu en audience, la Fédération des organisations républicaines pour la cohésion et l’émergence 2015 (FORCE 2015).

 C’était hier mercredi 30 octobre, au siège du RDR, à la rue Lepic, à Cocody. Conduite par son président national, Charles Gnahoré, FORCE 2015 a échangé avec le président du RJR, sur les dispositions à prendre, pour le soutien de la candidature du Président de la République, Alassane Ouattara, aux prochaines élections présidentielles de 2015. « Je suis déjà heureux que Force 2015 n’attende point le mot d’ordre du parrain, ni des cadres du parti. Et cela nous rassure et nous conforte à l’idée qu’il faut continuer de travailler dans ce sens(…) », a-t-il signifié.

Précisant à Charles Gnahoré et ses camarades que le plan de travail est établi avec le secrétariat général, afin d’aller à la conquête des militants pour des fusions au-delà du RDR. « Nous, nous estimons que l’homme politique ne doit pas avoir peur de sa base(…) quels que soient les militants, nous avons le devoir de les affronter (…). Nous estimons qu’il faut même recruter de nouveaux militants. Parce qu’il ne faut pas seulement qu’ils soient des électeurs (…). Nous voulons que le RDR soient le plus grand parti de Côte d’Ivoire », a insisté le député d’Abobo.

Rassurant ses hôtes du jour, pour cette démarche qu’il a jugée « bonne ». « Les préparatifs des élections 2015, dans la plupart des formations politiques ont commencé. Nous devons nous donner les atouts nécessaires pour atteindre notre but qui est la réélection de Alassane Ouattara », a déclaré pour sa part, le responsable de FORCE 2015. Il a ensuite mis en garde, certains leaders politiques qui mettent à mal toute les actions du chef de l’Etat : «(…) Nous devons leur tenir un langage de fermeté et de vérité en évitant au maximum de tomber dans la violence(…) mais que cela soit clair dans l’esprit de tous, le pouvoir de ADO ne se marchande pas ! », a-t-il martelé.
I.L