Ces pratiques sexuelles qu’il ne faut jamais essayer

  • Source : lasenegalaise


Sans pour autant tomber dans le cul-cul-la-praline en parlant de prélis à la chantilly, ni à l'inverse dans le trashy en évoquant la zoophilie, il existe des pratiques sexuelles auxquelles tu n'avais pas songées et qui pourtant te sont réclamées... ou l'inverse. Testera, testera pas ? A toi de voir.

Le bondage :

Si tu dois avoir le dernier mot dans la vie de tous les jours, sous la couette c’est une autre affaire ! Tu aimes te sentir comme un objet sexuel entre ses mains. D’ailleurs tu te laisserais facilement attacher les tiennes, bander les yeux…

Le bondage ou « shibari » pour les japonais, est une pratique érotique issue de l’univers sado-maso. Pour la petite histoire, cette pratique ancestrale s’inspire des techniques de torture par ligotage utilisées par l’armée nippone.

Le trip : se faire attacher les mains, les pieds, se bander les yeux, tout ça… tout ça… c’est priver sa partenaire de sa liberté de mouvement. Ce qui plait d’un côté c’est donc le rôle de dominant, et d’un autre côté, celui d'être contraint(e) physiquement et, à travers cette incapacité à se libérer, d’éprouver une jouissance sexuelle.

Le risk : s’abandonner au plaisir et à celui de son partenaire, se laisser posséder, ça peut avoir un côté flippant. Alors mieux vaut y aller progressivement. Garde bien en tête que ce n’est qu’un jeu, jamais une contrainte !

L’anulingus :

Vous êtes nus, tous les deux, chauds-bouillants… Direct’ tu t’emballes quand sa bouche passe en-dessous de ton nombril… Et alors que tu jubiles d’avance à l’idée d’avoir sa tête entre tes jambes, voici que tu te retrouves avec sa langue entre tes fesses… Oooop’s ! WTF ! Il a perdu sa boussole ou bien ?! Bah non ! Monsieur t’honore d’un anulingus ! Même que si tu te laissais aller, peut-être bien que tu prendrais ton pied…

Le trip : cette caresse bucco-anale qu’on appelle aussi « feuille de rose » consiste à lécher l’anus et le périnée de sa/son partenaire. Baiser intime ou préliminaire à la sodomie, cette pratique n’est pas seulement réservée aux filles. Elle stimule des zones très érogènes bien souvent délaissées car encore taboues.

Le risk : tu le sais, l’anus est un endroit plein de bactéries. Donc on y aventure sa langue que quand on est sûr(e) de l’hygiène irréprochable de son partenaire. Et comme toutes les pratiques sexuelles qui consistent en un contact entre muqueuses (anus, sexe, bouche), l’anulingus comporte un risque de transmission d’IST.

La stimulation de la prostate :

Passer chaque centimètre du corps de l’être aimé sous ses doigts, éveiller le désir (et même le plaisir) par des caresses et découvrir ainsi ses zones les plus érogènes peut nous guider vers des recoins jamais explorés…

Le trip : la prostate est à l'homme ce que le point G est à la femme. En clair, c’est un élément à ne pas oublier ! Il est accessible uniquement par l’anus. Alors mesdames, êtes-vous prêtes à essayer ? Messieurs, êtes-vous prêts à vous laisser pénétrer ? Même pas un petit doigt ?

Le risk : plein de garçons s’offusquent quand tu évoques la stimulation de la prostate… Et oui, le tabou du plaisir anal passif chez les garçons est tenace ! Et beaucoup d’hétéros refusent de tester cette pratique parce qu’ils l’assimilent à de l’homosexualité. Donc si tu ne tâtes pas le terrain avant, il est possible que tu casses l’ambiance en chatouillant le trou de balle de Monsieur. En revanche, si au cours de préliminaires, Jules se cambre à l’approche de tes doigts, vas-y doucement…

Rappelle-toi que les limites de la sexualité sont celles que te fixent ton envie et ta curiosité.