Un acte, tout aussi macabre que sordide, a été posé à Gbougbo, village de la commune de Dabou. Un acte odieux relatif à la profanation d'une tombe.
Et pas que ça. Vu que les auteurs de la singulière forfaiture ne se sont pas arrêtés là. En effet, selon nos sources, tôt le matin du jeudi 29 septembre 2016, des cris de détresse secouent soudainement le village. En un rien de temps, c'est l’effervescence totale dans la bourgade. Mais on interdit aux mômes de se mêler à tous ces mouvements. Car ce qu'il se passe n'est pas du tout de leur âge. Il vaut mieux qu'ils en soient complètement étrangers.
Et dans toute cette frénésie, on converge vers le cimetière du village. Mais que se passe-t-il ? Quelqu'un est-il mort ? Non. Mais l'affaire est tout de même liée à la mort. En fait, dans le cimetière, une tombe a été profanée. La tombe qui a été cassée est celle d'une femme. Il s'agit de Julie Loyou Lath, décédée il y a environ quatre mois.
Lorsque la nouvelle se répand, on croyait que c'était l'acte de voleurs ordinaires qui, en général, cassent les tombes pour voler les biens qui y ont été enterrés avec le défunt. A savoir des bijoux en or et autres pagnes et Kita. Que nenni. Il y a pire que cela. C'est que les auteurs de l'acte sordide ne se sont pas contentés que de casser la tombe. Ils ont, en effet, sorti carrément le corps de dame Julie Loyou de son cercueil et l'ont emporté vers une destination inconnue.
A la suite de cette (...) Lire La suite sur Linfodrome
Dabou, en plein cimetière: La tombe d'une dame cassée, son corps volé - Photo à titre d'illustration