Deux élèves surpris en plein ébat sexuel dans une salle de classe.

  • 03/01/2014
  • Source : dkpeople.net
La scène s’est déroulée lundi dernier aux environs de 18 heures 36 min dans l’enceinte du collège des sciences techniques industrielles et commerciales (CSTI) située au quartier Etoug-ebe

Les deux infortunés au centre du scandale sont élèves en classe de première (electricité). Ils ont été surpris en plein ébat sexuel dans une des salles qui servait d’atelier. Le forfait été découvert par le gardien qui sillonnait le coin dans l’optique de fermer les portes des salles de classe, lorsqu’il entendit des hurlements et gémissements provenant de l’atelier.

Kenko Rolande et Tapigua Albert Léon étaient en train de conjuguer le verbe aimer aux deux premières personnes du singulier quant ils ont été surpris. Selon les confidences de Rolande, le couple consommait le « fruit défendu » depuis le mois de Septembre. Cette dernière gardait le silence contre le billet de 1 000 FCFA. Cette somme lui était remise à chaque fois que les deux tourtereaux voulaient se lancer dans leur « sport favori ».

C’est suite au refus de la jeune Kenko, de « donner pour lui çà » comme chantait si bien l’artiste camerounais Belle Vie Linares, que le veilleur de nuit a décider de vendre la mèche. Celui-ci a d’ailleurs tenu à se confier à votre journal : « C’est avec déception que je constate que nos jeunes élèves sont devenus très inconscients et peu soucieux de leur avenir. C’est la énième fois que je surprends ce genre de comportement qui se déroule au collège des sciences. Et, apparemment aucune sanction n’a jamais été prise car, il m’a l’air que la nouvelle équipe aurait peur de renvoyer les élèves. Quand elle raconte des sottises, je suis étonnée car, je suis marié et père de six enfant. »

Le principal dudit établissement n’en revient pas et se dit surpris que de telles choses puissent se passer dans son établissement et qu’il n’en soit pas informé. Cela témoigne du degré de désordre et de négligence qui est déjà ancré dans cet établissement. Un parent d’élève et par ailleurs président de l’association des parents d’élèves et d’enseignants (APEE) s’est confié lui aussi au journal Le Soir : « J’ai été saisi par un enseignant de l’établissement qui m’a demandé de convoquer une réunion d’urgence afin que nous puissions tous faire quelques chose pour ce scandal

e, qui salit et souille l’image de notre établissement. Nous sommes quand même garant de la bonne morale et de la bonne marche de l’établissement. En tant que Président de l’APEE et eu nom de tous les parents, nous invitons tout d’abord les responsables de l’établissement à améliorer les conditions des enseignants et par la suite essayer de mettre de l’ordre, côté discipline. J’espère que ce genre d’acte ne se reproduira pas. Surprendre des enfants en train de s’amouracher en plein établissement est vraiment avilissant. » Il est à noter que la fille en question est la même qui a été surprise avec le principal du même établissement au mois de Mai dernier dans son bureau, en plein ébat sexuel.

C’est certainement à cause de cet atout que la jeune Kenko se dit intouchable et peut ainsi faire ce qu’elle veut et comme elle veut, à condition de bien délier la bourse et de savoir comment lui augmenter les notes pour passer en classe supérieure. La même élève serait la cible des enseignants de cet établissement et même des établissements voisins, surtout le Lycée bilingue d’Etoug-ebe où, selon des sources dignes de foi, elle aurait une relation très intime avec un haut responsable. Ce dernier aurait même proposé à la jeune fille de venir fréquenter dans son établissement « gratuitement ».