La belle-mère ne souffre que d’une blessure superficielle...
Les tatous ont la peau dure. Larry McElroy en a fait l’expérience dimanche dernier en Géorgie, aux Etats-Unis, rapporte la chaîne d’information locale walb. L’homme de 55 ans voit ce jour-là passer un tatou dans son jardin. Ni une ni deux, en bon Américain, il sort son pistolet 9mm pour l’abattre.
Son tir tue le malheureux animal mais la balle ricoche sur la carapace, transperce la clôture, traverse la porte d’une maison et atteint la belle-mère de Harry au dos. A 100 mètres de là. «Les circonstances, la trajectoire, toute cette situation est inhabituelle», a reconnu, circonspect, Bill Smith, l’inspecteur chargé de l’enquête.
La belle-mère, 74 ans, ne souffre que d’une blessure superficielle. «Ils l’ont emmenée à l’hôpital mais la blessure n’est pas trop sévère. Elle pouvait marcher toute seule et parler», ajoute l’officier. Aucune charge n'a été retenue contre le tireur.
Les autorités locales avaient eux-mêmes suggéré aux résidents du comté de dégainer à la vision d’un tatou. «Je pense réellement que si vous voulez tirer sur de la vermine, le mieux est d’utiliser un fusil de chasse», ajoute Bill Smith. A bon entendeur.
Il tire sur un tatou, la balle ricoche et atteint sa belle-mère - Photo à titre d'illustration