Bouaké / Visite du chef de l’Etat dans le Gbêkê : Le ministre Paul Koffi Koffi échange avec les cadres

En prélude à la visite d’Etat du président Alassane Ouattara prévue du 25 au 28 novembre prochain dans la région du Gbêkê, le ministre délégué à la défense, Paul Koffi Koffi a échangé avec les cadres de la région, hier dimanche 13 octobre 2013 au Ran hôtel de Bouaké.

Elus, chefs coutumiers et religieux ainsi que de nombreux cadres ont assisté à cette séance d’information. Paul Koffi Koffi s’est aussi appesanti sur la question des habitations toujours sous occupation de certaines personnes qui se croient encore à l'ère de la rébellion.

La rencontre du dimanche 13 octobre avec les populations de la région de Gbêkê avait pour objectif d’informer officiellement celle-ci de la visite très prochaine du président de la République dans cette région du centre de la Côte d’Ivoire. Pour le ministre au-delà d’une information, il était question de mettre en place les dispositions utiles dans le cadre de la réussite de cette visite imminente. Expliquant l’importance de la visite d’Etat du Président Alassane Ouattara, Paul Koffi Koffi a fait savoir que ces visites sont bénéfiques pour les régions.

« Le président de la République a décidé de faire des visites d’Etat pour toucher du doigt, les réalités du terrain et trouver des solutions à vos problèmes » a-t-il indiqué. Déroulant le programme de la visite, le ministre délégué a fait savoir que le président de la République sera effectivement à Bouaké le lundi 25 novembre 2013 et se rendra successivement à Sakassou, Botro et Béoumi. L’apothéose de cette visite est prévue pour le 28 novembre 2013 avec le meeting qu’il animera au stade de la paix de Bouaké. Ensuite, le président de la République se rendra dans la région du Bélier du 28 au 30 Novembre.

Le ministre qui entend faire de cette visite un réel succès a prié les personnes qui occupent illégalement encore des maisons à les rendre. Il faut les quitter poliment et gentiment. Il ne faut pas vous faire sortir de force » a-t-il plaidé. L'aspect sécuritaire n'a pas été occulté. Le ministre a dit être prêt. Toutefois, demande «aux industriels de nous appuyer. C'est une visite d'Etat; il faut que chacun y mette du sien » a-t-il conclu.