Enquête sur la découverte d’armes au domicile de Soul to soul: la déclaration de l’amicale des Forces nouvelles ( Communiqué)

  • 09/10/2017
  • Source : Partis Politiques
Nous apprenons que Kamaraté Souleymane dit Soul To Soul, éminent membre de l’Amicale des Forces Nouvelles, fait à nouveau l’objet d’un harcèlement politique.

En effet, après avoir maintes fois été entendu au sujet d’une affaire de supposée cache d’armes, notre compagnon de lutte est une fois de plus convoqué par le biais d’une banale convocation antidatée. 

Sans être devin, nous savons que l’Exécutif ivoirien est le commanditaire de cet acharnement qui vise en réalité à mettre aux arrêts cet autre Ivoirien qui ne faute que par ses choix et opinions politiques. 

L’objectif est de contraindre et d’imposer le silence face aux dérives du pouvoir d’Etat.

Il ne faut pas oublier que personne ne peut étouffer en un Citoyen une ambition née d’une vision.

Au-delà, il ne faut point ignorer qu’en toute chose, il faut éviter d’en faire trop au risque de laisser choir dans le vase, la goutte qui provoquera le débordement.

En tout état de cause, il est hors de question pour l’Amicale des Forces Nouvelles d’accepter qu’un des siens, Soul To Soul, un des grands faiseurs des nouveaux princes devenus des persécuteurs aujourd’hui, soit inutilement exposé aux pulsions émotives d’une classe politique qui se refuse au bon sens.

C’est pourquoi l’Amicale des Forces Nouvelles en appelle à la mobilisation totale de ses membres et avec eux, l’ensemble des Ivoiriens désireux d’une Côte d’Ivoire en paix, où chaque Pouvoir exerce sans interférence de l’un sur l’autre. 

L’Amicale des Forces Nouvelles se réserve le droit de prendre des initiatives et de donner des mots d’ordres en vue d’agir pour préserver les libertés des Ivoiriens acquises de haute lutte. 

Elle reste donc hautement saisie de cette question et des suites qui en seront données.
Nul ne doit se dérober face à son devoir historique.



Fait à Abidjan le 08 octobre 2017
Pour l’Amicale des Forces Nouvelles
Le Secrétaire Général, Porte-parole
Sékongo K. Félicien