Entrée du Maroc à la  CEDEAO : Lahlou Hassan Mohamed veut mettre des financements à disposition des Etats et du secteur privé

Cette entrée salutaire pour la Communauté au vu des différentes réalisations  du Maroc dans ses pays, est applaudie par le monde diplomatique et les artisans de la coopération  Sud-Sud dont Hassan M. LAHLOU Marocain, Président de l’Association Marocaine pour le développement en Afrique (AMDA), qui entend apporter son humble appui à cette coopération. 

Comme il le signifiait à lebabi.net : « Je m'inscris pleinement dans cette nouvelle dynamique qui a pour objet de revaloriser le capital matériel, humain et donner une nouvelle impulsion dans le cadre du climat de confiance nécessaire pour favoriser toute forme de développement ».

Et pour accompagner l’Afrique sur le chemin de l’émergence, l’expert   à son approche. Tout aussi pragmatique qu’incubatrice, consiste-elle  à mobiliser les refonds et les mettre à la disposition des États à l’effet de la réalisation de méga-projets à fort impact socio-économique.   Dans sa dynamique d’appui et d’assistance aux États par des investissements massifs dans les domaines de l’éducation, la santé, l’immobilier, la sécurité, le multiculturel, Hassan Mohamed, accorde une place prépondérante au secteur privé.

A la tête d’un important  cabinet de facilitation  d’affaire et de lobbying africain basé à Casablanca, African Bussiness Développment, Hassan  Lahlou, bien imprégné des enjeux du développement en Afrique et des marchés mécanismes de financements, met à profit  son carnet d’adresse garnie de bailleurs de fonds.  Représentant avec brio récemment les entreprises marocaines au Forum International de Tabarka sur le Développement Africain Hassan  Lahlou crois dur comme fer dans le succès de l’entrée du Royaume chérifien au sein de la CEDEAO.  

L’expérience en étude de marché, marketing et en diplomatie économique du manager d’African Business Développement  est au profit des  entreprises africaines dans l’optique d’obtenir des financements directs et développer des partenariats gagnant-gagnant. Il faut capitaliser sur les déplacements en Afrique et les relations intimes que le souverain chérifien a pu tisser avec ces états frères tout au long de son règne. Selon lui, cette démarche  « s’inscrit dans la vision Royale de Sa Majesté qui met en priorité le développement de l’Afrique ».