Pour sa 9ème édition, le Festival des Musiques Urbaines d'Anoumabo (FEMUA) va connaitre plusieurs innovations, surtout dans le domaine de la jeunesse.
Ainsi, l’une des innovations FEMUA 9 est la formation des jeunes aux métiers liés aux activités culturelles et créatives par le biais du Programme de Développement de la Musique Africaine (AMDP, une ONG affiliée à l’UNESCO) qui sera au cœur de cette édition.
Les jeunes seront instruit à travers la IMPACT Music Conférence qui est une opération organisée par le Conseil International de la Musique à travers son programme AMDP (African Music Development Programme).
Cette conférence sera à sa 2ème édition après la première qui qui s'est tenue en avril 2015 au Zimbabwe, dans le cadre du festival HIFA.
Cette édition 2016 s’organisera dans le cadre du FEMUA, les 19 et 20 Avril prochain à l’Institut Français d’Abidjan-Plateau autour du thème : « Musique, Tech et nouveaux modèle économiques pour le secteur de la musique en Afrique».
Pour M. Charles Houdart, représentant de l’AMDP, avec l’expérience dans la formation de sa structure dans différents pays africains, il est important que l’AMDP apporte son soutien au FEMUA dans le cadre de cette formation.
Le thème abordé, le profil des participants et le format des interventions au cours de cette conférence gratuite sont fait pour que cet événement intéresse le plus grand nombre : artistes, jeunes professionnels, journalistes, entrepreneurs, institutions, consommateurs de musique, managers.
Une rencontre avec du contenu, attractive, de bon niveau, ouverte et en prise avec les problématiques du marché de la musique d’aujourd’hui en Afrique.
"Dans le cadre de ce partenariat avec le Femua, des stagiaires originaires de plusieurs pays viendront se former auprès des membres du Commissariat Général du festival.
Le FEMUA 2016 qui se tiendra du 19 au 24 Avril à Anoumabo et Korhogo est, rappelons-le parrainé par le président Henri Konan Bédié, avec comme thème «Jeunesse et Développement».
Ahopol
Photo:Ahopol-Lebabi.net / Le commissaire général du FEMUA, Traoré Salif