Le ministre ivoirien de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandama a soutenu, vendredi soir, à l’ouverture de la septième édition du Festival des musiques urbaines d’Anoumabo (FEMUA 7) à Abidjan, que cet événement culturel «a donné à la Côte d’Ivoire une chance de s’ouvrir à nouveau au monde ».
« Ce festival a donné à la Côte d'Ivoire une chance de s'ouvrir à nouveau au monde », a déclaré Maurice Kouakou Bandama, qui a pour ce faire, marquer la reconnaissance des autorités ivoiriennes disposées à accompagner ce concept qui « est sur la voie de la perfection, à tout le moins un festival de qualité ».
Le ministre de la Culture et de la Francophonie a saisi cette occasion pour garantir aux initiateurs du FEMUA, le groupe Magic System de « l'appui du Chef de l'Etat et son gouvernement pour que vous ayez des moyens encore plus importants pour un FEMUA encore plus grand et plus lumineux ».
« Le FEMUA doit aller servir toute la Côte d'Ivoire et l'humanité, doit rayonner sur tout le pays » a-t-il ajouté tout en insistant que « Nous (gouvernement, ndlr) serons toujours avec vous pour faire du FEMUA, un festival toujours rayonnant ».
Le FEMUA événement culturel international rassemble à cette édition 17 artistes dont huit ivoiriens et neuf venus de plusieurs pays d'Afrique, du Liban et de la France. Il allie spectacles culturels avec des concerts géants et actions sociales.
La pose de la première pierre d'un Commissariat à Anoumabo et l'organisation d'un cross populaire auquel prennent part les artistes font partie des principales innovations de la présente édition organisée sous le thème « paix et cohésion sociale en Afrique ».
Le FEMUA «a donné à la Côte d'Ivoire une chance de s'ouvrir à nouveau au monde » (Ministre) - Photo à titre d'illustration