Match amical : la France déroule face à l'Irlande

  • 29/05/2018
  • Source : France24
L'équipe de France s'est imposée 2 à 0 sous la pluie face à l'Irlande au Stade de France lundi, lors de son premier match de préparation au Mondial en Russie. Olivier Giroud et Nabil Fekir ont marqué juste avant la mi-temps.

C'est un début pluvieux, mais c'est un bon début. Pour leur premier match de préparation à la Coupe du monde en Russie, les Bleus ont dominé la rencontre face aux Irlandais, lundi 28 mai au Stade de France (2-0). Olivier Giroud a ouvert la marque à la 40e minute – son 31e but en bleu –, avant que Nabil Fekir ne double la marque dans la foulée (43e) en profitant d'une petite erreur du gardien irlandais Colin Doyle.

Rarement convaincant en Bleu, Nabil Fekir a démarré du bon pied sa préparation au Mondial, qui démarre dans trois semaines, avec un joli match et un but contre l'Irlande. C'est seulement sa deuxième réalisation sous le maillot bleu, en onze sélections. Son dernier but remontait au... 7 juin 2015, il y près de trois ans, lors d'une défaite en amical contre la Belgique (4-3).

Fekir de nouveau à son meilleur niveau

Trois mois après cette rencontre, le Lyonnais avait vécu une terrible rupture des ligaments croisés lors d'un match amical contre le Portugal, une grave blessure au genou synonyme d'une longue absence.

Mais le milieu offensif de 24 ans est revenu à son meilleur niveau, à l'image de sa saison à Lyon, où il a honoré de belle manière son nouveau statut de capitaine : 18 buts et 7 passes décisives en 30 rencontres de Ligue 1.

Il est aussi à l'origine du premier but français, en frappant le corner pour la tête d'Olivier Giroud, d'abord repoussée par un défenseur irlandais, mais que l'attaquant de Chelsea a finalement mis dedans du bout du pied gauche (40e). Puis, il a marqué son deuxième but international d'une frappe enroulée du droit très mal négociée par le gardien Colin Doyle (43e).

Son remplacement par Griezmann à la 63e minute lui a d'ailleurs valu une grosse ovation du Stade de France et la franche accolade de Didier Deschamps.

Avec AFP