Reprise du travail hier après 2 mois d’absence/ Le premier ministre Amadou Gon Coulibaly : « Vous avez beaucoup prié et Dieu nous a fait grâce »

  • 08/07/2020
  • Source : L'intelligent d'Abidjan
De retour à Abidjan le jeudi 2 juillet 2020 en provenance de la France où il s’était rendu pour un contrôle médical le 2 mai 2020, le premier ministre Amadou Gon Coulibaly a retrouvé ses bureaux à la primature le lundi 6 juillet 2020, sous un accueil chaleureux de ses collaborateurs. Ci-dessous le message qui a leur a adressé à cette occasion :

« Aux valeureuses assistantes et secrétaires, à tout le personnel ici réuni, madame la secrétaire générale du gouvernement, vous imaginez aisément le plaisir qui est le mien de me retrouver à nouveau parmi vous, après deux mois d’absence.  
 
Je sais que vous avez beaucoup prié et Dieu nous a fait grâce, nous pouvons dire gloire à Dieu. 
 

Je voudrais dire, comme je l’avais indiqué à l’aéroport, le soutien du Président de la République ne m’a jamais fait défaut. Bien au contraire, cela a été une source de courage et d’inspiration.  

Mais comme je l’ai dit, il m’a tenu encore informé de l’évolution de la situation au niveau du pays. Et je voudrais  féliciter particulièrement le Directeur de Cabinet et tout le cabinet qui est resté en contact avec lui. 

Et je sais qu’en bonne collaboration avec le ministre d’État, Hamed Bakayoko, la primature a fait son boulot et a tenu. Je voudrais tous vous féliciter. 

 Maintenant je suis de retour, on reprend le boulot. Vous imaginez mon émotion en arrivant ce matin à la primature. C’est une émotion légitime, mais nous devons maintenant retrousser les manches pour pouvoir faire face aux défis auxquels notre pays est confronté. Je suis persuadé que sous l’autorité du Président de la République, nous arriverons, dans l’intérêt de notre pays, à relever ces défis. 

Je ne voulais pas être exhaustif à l’aéroport, j’en ai cité quelques-uns, mais c’était des points saillants qui se sont produits lors de mon absence. Nous aurons une feuille de route qui est claire, nous devons donc nous atteler à cela...Lire la suite sur L'intelligent d'Abidjan