L’Association des sociétés d’électricité d’Afrique (ASEA) a tenu son assemblée générale ordinaire le jeudi 12 décembre 2013 à Abidjan. Les travaux de ces assises portaient sur l’examen du rapport d’activités pour l’exercice 2013 du Directeur Général de l’ASEA, M. Abel Tella, l’examen des comptes de l’année 2012 et l’exposé du budget prévisionnel pour l’année 2014.
Devant les représentants des sociétés, le président de l’ASEA à rappelé que lors de l’assemblée générale précédente, des résolutions avaient été prises pour rendre l’organisation plus opérationnelle et l’adapter aux réalités actuelles.
Elles sont contenues dans le plan d’actions stratégiques 2008-2011. « Ce plan met en exergue la nécessité de rechercher d’autres de financements des activités de l’ASEA outre les cotisations annuelles, en vue de faire face aux surcoûts financiers inhérents », souligne-t-il. Pour lui, l’année 2014 sera une année de référence en vue de réunir les conditions d’exécutions du plan d’actions stratégiques.
La présente assemblée générale de l’ASEA a établi que les performances des sociétés africaines d’électricité dépendaient en grande partie de la nécessité pour elles de disposer de ressources humaines qualifiées. Aussi, s’avère-t-il indispensable qu’elles en disposent dans tous les domaines de compétences conformément aux exigences techniques, technologiques et managériales d’aujourd’hui. Soulignons que l’ASEA comptait jusqu’à fin 2012, 54 membres.
Elle a pour but de promouvoir le développement et l’intégration du secteur électrique africain par l’interconnexion des réseaux électriques, l’échange d’expériences et de savoir-faire, ainsi que l’exploitation en commun des ressources énergétiques sur la base d’une approche « gagnant-gagnant » pour tous les membres.
Secteur de l’électricité: Les sociétés d’électricité d’Afrique dressent leur bilan à Abidjan - Photo à titre d'illustration