Les 10 études scientifiques les plus improbables.

  • Source : lifestyle.fr.msn.com


1. 48% des femmes préfèrerait se passer de sexe pendant un mois que de smartphone
Un sondage réalisé par le Huffpost en collaboration avec le site Real Simple révèle que pour bon nombre de femmes, le téléphone est plus fort que les pulsions sexuelles.

3 583 femmes, la plupart âgé de plus de 30 ans, ont été interrogées -nous avons tendance à penser que le résultat chez les hommes ne serait pas très différent.

Bien que seul 27% des sondées s'est reconnu dépendant au téléphone et aux réseaux sociaux, le détail du sondage montre bien la puissance de notre addiction à la communication.

47% des femmes interrogées dorment avec leur téléphone dans leur chambre, 5% dans leur lit. 56% garde son portable avec elle pendant le déjeuner, 12% sur la table. Et donc, ce chiffre amusant, 48% d'entre elles préfèrerait se passer de sexe pendant 1 mois qu'être séparée de ce moyen de communication.

Tous ces chiffres ne sont pas très étonnants tant nous sommes de plus en plus connectés à tout moment, pour être en contact avec nos proches, le travail, l'actu, la vie de notre ex, le slip de Paris Hilton...

Bien qu'on sache que cette ultra-connection n'a pas que des conséquences positives 71% des sondées ne voudrait pas retourner à une époque sans Internet et smartphone. 74% ne se pense pas dépendant aux nouvelles technologies !

2. Faire l'amour pour éviter d'attraper un rhume !
Celle-là, on ne l'avait pas vue venir… Selon une étude de la Wilkes University of Pennsylvania (Etats-Unis), faire l'amour une ou deux fois par semaine réduirait de 60% les risques de rhume ou de grippe.

En effet, l'activité en question augmenterait la production des anticorps nous protégeant des infections virales…

Rappelons que le sexe est aussi un antihistaminique naturel. Alors au printemps, on continue de pratiquer, cette fois pour lutter contre l'asthme et le rhume des foins !

3. Le bacon et les saucisses rendent les hommes moins fertiles

A l'occasion de la conférence de l'American Society for Reproductive Medicine à Boston, des chercheurs de grandes universités américaines dont Harvard, ont mis en évidence une "association négative" entre la consommation des viandes transformées et la qualité du sperme.

Selon eux, les hommes qui mangent une tranche de bacon ou une saucisse de viande par jour auraient "30% moins de spermatozoïdes normaux" que les hommes qui n'en consomment pas.

Au contraire, la consommation de poissons à la chair blanche aurait un effet positif sur la qualité des spermatozoïdes. Et puis n'oublions pas que selon une autre étude, les framboises permettraient de doper la fertilité des hommes !

Tout n'est donc pas perdu pour les amateurs de cochon…

4. Les gens qui font le plus le ménage sont aussi ceux qui sont le plus en surpoids
Avant, on pensait que faire le ménage était une activité sportive certes modérée, mais une activité sportive quand même. Mais ça, c'était avant.

Selon une étude menée par le Professeur Marie Murphy de l'Université d'Ulster, le volume de tâches ménagères effectué serait inversement proportionnel à la minceur… ce qui voudrait dire que soit l'on surestime l'intensité du ménage en tant qu'activité physique, soit que l'on mange plus pour compenser.

Les femmes et les seniors qui considèrent le ménage comme leur principale activité physique seraient d'ailleurs les personnes qui auraient le plus de problème de poids…

En résumé, pour garder la ligne et se refaire une santé, mieux vaut laisser tomber serpillère et plumeau, pour se rendre fissa à la salle de sport la plus proche… Ou alors apprendre à danser en passant l'aspirateur.

5. 46% des femmes préfèrent leurs copines à leur conjoint !
Selon une récente étude britannique rapportée par le Daily Mail, 46 % des femmes préfèreraient passer du temps avec leurs amies plutôt qu'avec leur chéri.

Et elles avancent de nombreux arguments : les sorties entre filles seraient ainsi l'occasion de partager un bon moment avec ces amies qui tiennent une place importante dans la vie; mais elles permettraient aussi d'aborder des sujets plus sérieux avec elles… et seraient parfois un excellent prétexte pour s'éloigner de son conjoint et éviter une dispute.



L'amitié féminine serait donc un ingrédient essentiel à l'épanouissement personnel, autant que la vie de couple... ? On ne s'en serait pas douté...

6. Les relations humaines rendent plus heureux que les choses matérielles
En analysant plus de 1,5 millions de mots imprimés dans les journaux suédois en 2010, des chercheurs se sont rendus compte que les mots se rapportant à des personnes ("toi", "moi", "grand-mère", etc) avaient tendance à apparaître à côté du mot bonheur… ce qui n'est pas le cas des mots désignant des objets (iPhone entre autres).

Le lien entre matérialisme et solitude est évidemment mis en avant dans cette étude qui montre officiellement que les relations humaines rendent plus heureux que les choses matérielles.

En d'autres termes, cette recherche littéraire a permis d'enfoncer des portes ouvertes – depuis le temps, on sait bien que le bonheur ne s'achète pas ! – en utilisant pour cela un budget qui ne sera pas alloué aux vraies recherches scientifiques.

7. Au volant, les femmes envoient plus de SMS que les hommes
Selon une enquête réalisée par Axa Prévention, 21% des femmes enverraient des textos alors qu'elles conduisent, contre 15% des hommes. Par contre, elles seraient moins enclines à passer un appel (35% contre 39%).

Des chiffres qui montrent que finalement, utiliser son téléphone au volant reste une pratique courante, malgré son interdiction. Et qui n'avancent pas les raisons de ce phénomène, qui auraient pourtant pu faire avancer le schmilblick…

8. Le bonheur du couple serait génétique
Angoisse généralisée au sein de la rédaction à la lecture de l'intitulé de cette étude.

L'explication de tous nos ratages amoureux seraient coincée dans nos gènes, pires : ces ratages seraient voués à se répéter ad vitam et nous empêcheraient d'atteindre le bonheur en amour.

Drôle d'affaire que cette étude du psychologue spécialisé dans les émotions humaines, Robert W. Levenson.

En sondant tous les 5 ans 156 couples sur leur satisfaction conjugale, les équipes du spécialiste ont ciblé une variante de gène. Selon si vos variantes de gènes 5 - HTTLPR sont longs ou courts, vous avez plus ou moins de chance d'être heureux en amour.

Le résultat de l'étude de Robert W. Levenson montre en effet que les 17% de participants dotés de 2 gènes 5 - HTTLPR courts étaient les plus malheureux dans leur relation de couple.

Clairement, pour un prochain rencard, nous investigueront en premier lieu sur la longueur du gène de notre éventuel futur !

9. Instagramer sa nourriture couperait l'appétit
"On se lasse de la nourriture avant même de l'avoir goûtée", explique Ryan Elder, co-auteur d'une étude révélant les effets pervers du food porn, cette nouvelle tendance qui consiste à prendre son plat en photo avant de la partager sur Instagram.

Publiée dans le Journal of Consumer Psychology, cette étude tend à montrer que les photos entraînent un "ennui sensoriel" chez le lecteur, paralysant son plaisir et parfois son envie de goûter au met présenté.

Ce qui est assez paradoxal quand on sait à quel point les émissions culinaires cartonnent… et nous donnent envie de manger !

10. Enfiler des chaussettes pour… booster sa libido !
C'est tout sauf sexy, mais garder ses chaussettes au lit serait un bon moyen pour les femmes de se sentir bien au chaud et en sécurité… et donc d'humeur coquine.

Mieux que ça : des chercheurs néerlandais de l'Université de Groningue ont découvert que 80 % des femmes atteindraient l'orgasme lorsqu'elles portent des chaussettes. Elles ne sont plus que 50 % en gardant les pieds nus…

Comme quoi, le bonheur ne tient parfois qu'à un fil d'Ecosse.