Quand faire l’amour rime avec douleurs et pleurs

  • Source : lasenegalaise.com


Faire l’amour, quand c’est bien fait, c’est vraiment bon. Malheureusement, pour beaucoup trop de femmes, le sexe c’est parfois aussi TRÈS douloureux…

On pense à la première fois, mais aussi aux tortures qu’endurent certaines femmes toutes les fois d’après, pour faire plaisir à leur homme qui ne sait pas s’y prendre du tout ! Il y a les affres de la sodomie, quand on se laisse pénétrer par derrière sans en avoir envie pour montrer qu’on est ouverte d’esprit, les préliminaires qui se veulent performants, mais qui vous irritent le clitoris à vous en mordre les lèvres de douleur, sans oublier les pénétrations de marathoniens, interminables et un peu trop percutantes pour en avoir l’air plus viriles, qui vous défoncent littéralement le bas-ventre… Bref, faire l’amour, oui c’est bien, mais surtout quand ça ne fait PAS MAL. Voici nos cinq conseils pour éviter de lui faire mal et pouvoir commencer à lui faire du BIEN.

La pénétration : tout en douceur, c’est souvent mieux

Malheureusement, beaucoup de femmes pourront le confirmer, la pénétration, il n’y a pas que la première fois que ça peut faire mal. Malgré tout, c’est vrai que la première fois reste assez délicate et vous pouvez vous reporter à notre article sur Les premières fois pour plus de conseils en la matière. Que ce soit la première fois ou non, le principal c’est que la femme en ait VRAIMENT envie.

Ensuite, il y a la manière de rentrer : pas besoin de rentrer tout le sexe d’un coup, c’est d’ailleurs beaucoup plus excitant de rentrer progressivement. Laissez le sexe de la femme s’ouvrir et vous accueillir voluptueusement, plutôt que de rentrer en force avec un imaginaire de conquérant ! Essayez aussi de rentrer le sexe bien « droit » : vous pourrez varier les angles une fois à l’intérieur, mais là encore il faut prendre le temps. Évitez aussi de constamment rentrer et ressortir : quelques fois, ça peut être très excitant, mais si on insiste, ça peut vite devenir douloureux.

Pas besoin non plus que ça dure des heures !

Même si la fille est très excitée, qu’elle avait très envie de vous avoir en elle, que vous êtes rentré en douceur et qu’au début c’est vraiment bon pour tous les deux, n’oubliez pas que même les meilleures choses ont une fin ! Si vous ou votre partenaire n’arrivez pas à jouir, il ne faut pas non plus s’acharner ! C’est bien de savoir contrôler son éjaculation (pour ceux qui ont encore du mal, vous pouvez vous reporter à notre article Comment retarder l’éjaculation), mais au-delà d’une demi-heure ou trois-quarts d’heure de va-et-vient incessants, il est rare qu’une femme soit encore suffisamment lubrifiée et même si elle ne trouve pas encore le temps long, elle va commencer à être sérieusement irritée !

Les caresses sexuelles : vous n’êtes pas obligés de lui enfoncer toute la main !

Et il n’y a pas que la pénétration qui puisse faire mal : même si on vous répète que les femmes ont besoin de beaucoup de préliminaires, encore faut-il qu’ils soient bien faits ! Même les caresses les mieux intentionnées peuvent parfois devenir un véritable calvaire. Alors, avant de se mettre à doigter une fille, le premier réflexe à avoir, c’est de bien se couper les ongles et de bien se laver les mains : vous éviterez ainsi les griffures très désagréables pendant les caresses et les infections encore plus désagréables après ! Dites-vous aussi qu’un seul doigt peut suffire à donner énormément de plaisir : arrêtez de vouloir absolument lui rentrer le plus de doigts possible dans le vagin et de viser l’orgasme vaginal, on ne cherche pas à battre des records, mais à se faire du bien !

La sodomie : ne pas avoir peur de mettre du lubrifiant

La sodomie reste malheureusement souvent gravée dans l’imaginaire féminin comme une pratique extrêmement douloureuse, alors qu’elle devrait être un acte de PLAISIR. Pour tous les conseils pour pratiquer une sodomie délicieuse plutôt que douloureuse, vous pouvez vous reporter à notre article sur La sodomie. Mais pensez surtout à bien mettre du lubrifiant. Cette partie du corps n’est pas lubrifiée naturellement et vous éviterez ainsi les frottements à sec très désagréables. Veillez aussi évidemment à y aller en douceur et à donner envie progressivement à votre partenaire.

Le clitoris : à exciter avec modération

Enfin, dernier conseil, et non des moindres : prenez soin du clitoris de votre partenaire. On vous a répété que cette petite partie de l’anatomie féminine, pas toujours facile à repérer pour des amants encore inexpérimentés, était la clé du plaisir. OUI, mais là encore, point trop n’en faut ! Il faut savoir doser les caresses et ne pas se focaliser uniquement sur ce point extrêmement sensible qui risque de s’irriter rapidement. Cela vaut autant pour les caresses que pour le cunnilingus. C’est un peu comme si une fille s’amusait à tripoter le gland d’un homme qui vient d’éjaculer ! Et n’essayez pas à tout prix de dégager le clitoris de la petite peau qui l’entoure, parce que là, ça fait encore plus mal ! Cela dit, une fois que les caresses sont sensibles, bien dosées et bien placées (si si, tout ça c’est possible), ça peut aussi être l’extase ! Alors, prenez soin de votre copine, elle vous le rendra bien…