Cette fois ci ce n’est pas la brigade de répression contre la cybercriminalité qui a mis la main sur ce jeune Ivoirien brouteur. C’est le brouteur lui-même qui s’est vanté de son exploit en s’offrant une Mercedes dernier cri.
Tant qu’il y aura des naïfs dans le monde, les brouteurs auront toujours du travail en Côte D’Ivoire. Tant qu’il y a l’offre il y aura la demande dit on en économie L’offre d’un bien est la quantité d’un produit offert à la vente par les vendeurs pour un prix donné. Contrairement à la demande qui est la quantité d’un certain produit demandée par les acheteurs pour un prix donné.
Depuis que ce phénomène des brouteurs a pris de l’ampleur en Côte D’Ivoire, les offres ont toujours été du gout des acheteurs qui ont manifesté par des transactions millionnaires leurs demandes. La relation vendeur-acheteur a toujours tourné en faveur des brouteurs qui se sont constitués un capital énorme.
Il n’est pas rare de voir dans les rues d’Abidjan ces nouveaux riches étalés leur richesse amassée au prix de nombreuses heures devant l’ordinateur. C’est dans cette optique que Fofana, un jeune Abidjanais de Marcory plein d’ingéniosité avait mis en vente en ligne ses deux sœurs jumelles comme esclaves sexuelles avant qu’un riche Saoudien ne morde à l’hameçon.
Amoureux de l’esclavage, le riche Saoudien accorde le prix et les modalités de la transaction avec Fofana..Les photos intimes des jumelles lui sont envoyées et il est assuré que les filles lui seront totalement dévouées et réaliseraient tous ses fantasmes. Le montant de la transaction est fixé à 100.000 euros dont un premier versement de 50.000 euros est effectué via plusieurs transferts par Western Union.
Le Saoudien ne verra jamais les jumelles et aura perdu 50.000 euros dans son désir d’avoir des esclaves sexuelles africaines, et Fofana vit la grande vie dans les rues d’Abidjan avec son argent. Une victime de plus parmi tous ses pervers et prétentieux éparpillés entre l’Europe, l’Amérique et l’Asie.
Abidjan : Un brouteur vend via internet ses sœurs jumelles à un Saoudien pour 50.000 euros - Photo à titre d'illustration