Jason, 23 ans, souffre d’une terrible maladie qui le conduit souvent à l’hôpital : il souffre de priapisme, soit un blocage des vaisseaux sanguins au niveau du pénis, causant des érections non-souhaitées. Mais sa dernière crise a bien failli le perdre.
La semaine dernière, Jason Garnett, un Anglais de 23 ans, a vécu une terrible situation. Après une soirée bien arrosée avec une jeune femme avec qui il a eu des relations sexuelles (sans Viagra, il insiste), l’homme est rentré chez lui pour enfin dormir. Et le lendemain matin, à son réveil vers 9h00 du matin, il découvre son pénis en érection, comme il l’explique au Daily Mail. Seul problème : l’érection continue aux environs de midi et même au fil de l’après-midi. « J’ai essayé de regarder sur Internet, pour savoir ce que ça pouvait bien être », confie-t-il.
« J’ai même essayé de mettre de la glace dessus, de m’asseoir dans une baignoire pleine d’eau froide, et j’ai aussi tenté de courir avec mon pénis coincé dans ma ceinture ». Rien à faire : l’homme ne peut même pas uriné correctement et en soirée, commence à sérieusement s’inquiéter de cette condition. Il demande ainsi à son colocataire de l’accompagner à l’hôpital « Au début, il rigolait comme un malade mais il a réalisé à quel point c’était sérieux ».
Un urologue est finalement arrivé pour examiner son pénis et confirmer qu’il fallait enlever le sang, bloqué, dans son pénis. Le médecin va jusqu’à retirer... trois pintes de sang, soit près d’un litre ! « L’urologue a dit qu’il n’avait jamais rien vu de tel », confie Jason. Mais l’érection continue quand même... jusqu’à deux heures du matin, après 24 injections d’adrénaline dans son membre.
« Il n’y aura pas d’autre problème aussi grave », lui assurent aujourd’hui les médecins, mais Jason reste très inquiet de cette érection de 17 heures !
Jason a subi une érection... de 17 heures consécutives: les médecins ont dû retirer trois pintes de sang de son pénis... - Photo à titre d'illustration