Un père portant le nom de Bah Oumar Valdo, a dénoncé sur Facebook les mauvais traitements subis par son fils le jour de sa naissance qui a eu les deux clavicules fracturées.
Il ne voulait pas publier les photos de son fils mais il l'a fait pour dénoncer les médecins qui "négligent l'aspect noble et vital de leur profession".
Selon lui, son fils né dans une clinique dont il a tue le nom a été "mal accueilli en venant au monde."
"A force de l'extirper du cocon maternel par ses petits et fragiles bras, ils lui ont fracturé les deux clavicules. Il souffre et pleure sans cesse" déplore le père.
"Mon fils a 4 semaines aujourd'hui et est déjà obligé de subir les supplices du cruel monde des bipèdes. Il enfile ce bandage et ingurgite les médocs plus que son aliment de base", peste-t-il.
"J'ai choisi de partager ce témoignage, photos à l'appui, pour que nous prenions tous des dispositions afin que nos enfants ne subissent plus jamais ce calvaire. Ne pas le faire consisterait à me taire face à un problème sanitaire qui gangrène notre pays"
Il invite également "tous les maris à accompagner leur femme dans les salles d'accouchement" afin de veiller au grain.
"Sachez qu'en plus d'apporter un soutien amoureux à celle qui est entrain de donner vie à votre rêve, votre présence la rassure et empêchera sans doute des atrocités pareils à votre progéniture" poursuit-il.
Il a regretté notemment le fait e n'avoir pas été présent comme à la naissance sa fille et demande "humblement" aux médecins "de bien s'occuper des naissances comme si c'était la dernière."
Selon lui, "dans un pays de droit, il aurai porté plainte contre X et demander qu'on s'occupe convenablement de son enfant" mais il souhaite que son bébé guérisse sans séquelles et qu'un autre nouveau né ne subisse plus jamais ce genre de déconvenue."
"Je ne fustige personne. C'est juste un cri du coeur d'un père meurtri et impuissant face aux douleurs de son petit prince. Je te souhaite prompte rétablissement mon trésor. Sois fort car tu es un battant à l'image de ton papa" conclu-t-il.
APR/LBB
Un père dénonce les mauvais traitements subis par son nouveau né le jour de l'accouchement - Photo à titre d'illustration